bruce55
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 |  Sujet: La misère d’un SDF.  Lun 1 Mar - 17:51 | |
| La misère d’un SDF.
Je vous envoie un SOS, qui s’appel la détresse d’un SDF.
La détresse de ces gens dans la rue que la société ne veut plus,
Il s’appelle SDF
Assis sur les Trottoirs ou au coin d’une rue ils se considérer exclus,
Où je demeure je n’ai pas d’abri je vie des maux noircir de désespoir,
Je suis seul tout les nuits frigorifiait et pétrifié dans le froid de l’hiver,
Ils fon partie du décor seul sans rien, affamé d’espoir,
La rue est mon refuge le trottoir est mon lit,
Un carton pour simple couverture !
La misère te prend et te jette en dehors de la société ;
vous n’auriez pas une cigarette,
Un ticket resto une petite pièce pour manger,
La voix du ventre creux, leur serons toujours inaudible.
Il est si facile de ne voir que ce l’on veut bien voir ;
Il est facile d’entendre ce que l’on ne veut bien entendre ;
Plutôt que voir ou t’entendre la misère d’un SDF.
Alors, et je me dis que notre monde est bien misérable,
De les laisser dans le froid, c’est vraiment incroyable,
Les politiciens ne sont bien souvent que de vifs menteurs!
Vos discours inutiles son toujours les mêmes et rien na changer,
Sauvons plutôt les banques trop adulées c'est tellement mieux,
que de dire qu'il y a de pauvres français, c'est toujours plus fâcheux.
Arracher toute cette misère à cet être innocent,
Leur accorder plus qu'un regard leur donner un peut d’affection,
Leur réchauffer d'un peu leur cœur donner leur un peut d’attention,
Pourquoi vouloir reparaître encore quand on ai plus,
La misère se cache sous un pont,
Les misérables n'étant plus vus, alors on les oublie.
Pourtant
Beaucoup d’association donne de leur temps,
Pour tendre la main à, un home une femme ou un enfant,
Et ouvrir leur cœur et leur donner juste un peu de bonheur,
Tendre la main à ce qui se sent seul et dans le besoin,
Regardé autour de soi, comme on regarde le ciel,
Toi qui vie dans le luxe et le superficiel,
Donne un peu de ton temps donne un peu de chaleur,
Entendez ces ventres qui crient famine,
Mais en silence ils meurent de faim,
Ils courent après leurs rêves pour que la misère s'achève,
Pour ne plus avoir peur du lendemain.
ALORS !!!
Alor arrêtons les discours juste un moment et de ce dire,
Que les souffrances durent depuis trop de temps,
Que des personnes humaines meurent chaque jour dans l’ignorance,
Dans un pays où l’on parle des droits de l’home ???
Amitié poétique, Ecrit par Bruno le 20 12 2008
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